Une soirée chez Kubrick
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juin 2014
15
20:47
Re: Une soirée chez Kubrick
Oui Laurent, Clarke a en effet pas mal travaillé sur les bases théoriques de l'ascenseur spatial.
Sur le papier, l'idée est géniale. Sur le plan pratique, c'est assez compliqué. On ne dispose pas du matériau à la fois solide et léger (les nanotubes de carbone envisagés par certains présentent de plus des risques de santé) qui est nécessaire. Et il y a des tas d'autres complications (par exemple les phénomènes d'ionisation). Mais bon, on aurait dit à Christophe Colomb qu'un jour on traverserait l'Atlantique en quelques heures...
Sur le papier, l'idée est géniale. Sur le plan pratique, c'est assez compliqué. On ne dispose pas du matériau à la fois solide et léger (les nanotubes de carbone envisagés par certains présentent de plus des risques de santé) qui est nécessaire. Et il y a des tas d'autres complications (par exemple les phénomènes d'ionisation). Mais bon, on aurait dit à Christophe Colomb qu'un jour on traverserait l'Atlantique en quelques heures...
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juin 2014
15
23:19
Re: Une soirée chez Kubrick
Coucou !
Et si on se refaisait une petite projection ? Quelqu'un a un projecteur qui tient la route ?
Et si on se refaisait une petite projection ? Quelqu'un a un projecteur qui tient la route ?
Astramicalement,
Benjamin
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juin 2014
16
19:05
Re: Une soirée chez Kubrick
On garde l'idée sous le coude pour une future nuit nuageuse aux Rayes, il prendra la suite des tontons flingueurs
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http://splendeursducielprofond.eklablog.fr/
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juin 2014
17
22:57
Re: Une soirée chez Kubrick
Salut les Astronomes adeptes de Science Fiction,
C'est vraiment enthousiasmant de constater que le nombre d'Aficionados de SF est très important.
L'idée aussi "Intelligente" qu' "Immatérielle" qu'a eu Fred Hoyle, le fameux astrophysicien Anglais si détracteur et inventeur du terme Big Bang pour mettre en dérision cette "supposition"(puisque toujours non prouvée et c'est ce qui est parfait car nous obligent à chercher toujours et encore) pourtant bien "conservée" par les scientifiques de nos jours avec son roman : The black cloud (hélas introuvable maintenant, même dans la langue de Shakespeare parait-il ?) qui avait "pensé" à une "Entité" dénuée de toute "consistance" matérielle,
(pas de corps ...) et douée à l'extrême d'une "intelligence" intuitive lui permettant de comprendre et analyser à une vitesse phénoménale tout ce qui l'environne et donc de se déplacer à la vitesse (fatidique...) de la Lumière (pouvoir Absolu dont l'homme est en quête pour "pouvoir VOIR"
le vaste Univers ! Quelle ingéniosité de Pensée !
Je ne savais pas que c'était Philip K. Dick qui avait écrit le : "Do Androïds dream of electric sheep" qui a inspiré le très beau film et violent mais si célèbre :
Blade Runner, et le magnifique "monologue" parfaitement dit par Rutger Hauer, le Chef Nexus 6, lorsqu'il sauve la vie a Deckaert et où il s"éteint" après seulement quatre ans de vie mais si intense par rapport à nous humains "instables": " Tous ces moments se perdront dans l'oubli ... comme
les larmes...dans la pluie... Ca n'a pas trop de "puissance psychologique cité par écrit mais a "entendre" dans le contexte angoissant du film, whaaouuh... (Ecoutez le cd de la musique originale du film en VO, avec le bruit violent des trombes de pluie en "fond sonore" :
Ca prends vraiment "aux tripes" d'intensité !
J'ai été trop long, mais bravo pour votre passion pour la SF.
jb.
C'est vraiment enthousiasmant de constater que le nombre d'Aficionados de SF est très important.
L'idée aussi "Intelligente" qu' "Immatérielle" qu'a eu Fred Hoyle, le fameux astrophysicien Anglais si détracteur et inventeur du terme Big Bang pour mettre en dérision cette "supposition"(puisque toujours non prouvée et c'est ce qui est parfait car nous obligent à chercher toujours et encore) pourtant bien "conservée" par les scientifiques de nos jours avec son roman : The black cloud (hélas introuvable maintenant, même dans la langue de Shakespeare parait-il ?) qui avait "pensé" à une "Entité" dénuée de toute "consistance" matérielle,
(pas de corps ...) et douée à l'extrême d'une "intelligence" intuitive lui permettant de comprendre et analyser à une vitesse phénoménale tout ce qui l'environne et donc de se déplacer à la vitesse (fatidique...) de la Lumière (pouvoir Absolu dont l'homme est en quête pour "pouvoir VOIR"
le vaste Univers ! Quelle ingéniosité de Pensée !
Je ne savais pas que c'était Philip K. Dick qui avait écrit le : "Do Androïds dream of electric sheep" qui a inspiré le très beau film et violent mais si célèbre :
Blade Runner, et le magnifique "monologue" parfaitement dit par Rutger Hauer, le Chef Nexus 6, lorsqu'il sauve la vie a Deckaert et où il s"éteint" après seulement quatre ans de vie mais si intense par rapport à nous humains "instables": " Tous ces moments se perdront dans l'oubli ... comme
les larmes...dans la pluie... Ca n'a pas trop de "puissance psychologique cité par écrit mais a "entendre" dans le contexte angoissant du film, whaaouuh... (Ecoutez le cd de la musique originale du film en VO, avec le bruit violent des trombes de pluie en "fond sonore" :
Ca prends vraiment "aux tripes" d'intensité !
J'ai été trop long, mais bravo pour votre passion pour la SF.
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juin 2014
17
23:11
Re: Une soirée chez Kubrick
Coucou !
Tu sais, Jean-Bernard, ce moment de Blade Runner que tu évoques, c'est une de mes scènes favorites au cinéma. Je l'ai vu plus d'une dizaine de fois, et je ne peux m'empêcher, à chaque fois, aussi préparé que je le sois, de verser des larmes devant tant de tristesse, de poésie, de regrets. Bien souvent, l'évocation seule a cet effet. Un grand, très grand moment dans ma vie cinématographique.
Tu sais, Jean-Bernard, ce moment de Blade Runner que tu évoques, c'est une de mes scènes favorites au cinéma. Je l'ai vu plus d'une dizaine de fois, et je ne peux m'empêcher, à chaque fois, aussi préparé que je le sois, de verser des larmes devant tant de tristesse, de poésie, de regrets. Bien souvent, l'évocation seule a cet effet. Un grand, très grand moment dans ma vie cinématographique.
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juin 2014
17
23:42
Re: Une soirée chez Kubrick
Ah ouiiii, grande scène que celle-là, d'une rare intensité. La bande sonore de Vangelis n'y est pas pour rien, le CD du film est un chef d'oeuvre !
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18
10:51
Re: Une soirée chez Kubrick
Bonjour les Cinéphiles, Benjamin et Laurent, un grand, grand merci pour votre ressenti de cet intense film,
comme tu dis, Laurent, les morceaux de musique de Vangélis font littéralement "décoller de la Terre" le spectateur, il n'y a pas d'autre mot !
Amicalement jb.
comme tu dis, Laurent, les morceaux de musique de Vangélis font littéralement "décoller de la Terre" le spectateur, il n'y a pas d'autre mot !
Amicalement jb.
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juin 2014
18
12:05
Re: Une soirée chez Kubrick
Bonjour à tous
À mon tour d'encenser ce film magnifique.
Il n'y a pas une seule image inutile, un montage parfait et une bande son hors norme, une voix off inimaginable d'intensité.
Et les détails, comme le toit du poste de police encombré de détritus qui montrent la vétusté des lieux.
Les rues et les commerces, la foule dense, opprimante, plus vrai que nature.
Les acteurs avec une composition des jeux de rôle extraordinaire, émouvants.
Je les aime tous du "bon" au plus "méchant" même si ces définitions ne sont pas parfaites pour les définir car ces personnages sont tellement complexes. Ils sont beaux et belles et attachants.
Au début je balance pour la cause humaine et à la fin je suis dans le camp des répliquants car ils sont plus humains que les humains et donne une grande leçon de vie.
Les scènes hors normes quand la danseuse au serpent se fait "éliminer", Lorsque le chef des répliquant s'enfonce le clou dans la main et lâche la colombe lorsqu'il meurt. C'est son âme qui s'envole.
Bon j’arrête là car je vais raconter tout le film.
À mon tour d'encenser ce film magnifique.
Il n'y a pas une seule image inutile, un montage parfait et une bande son hors norme, une voix off inimaginable d'intensité.
Et les détails, comme le toit du poste de police encombré de détritus qui montrent la vétusté des lieux.
Les rues et les commerces, la foule dense, opprimante, plus vrai que nature.
Les acteurs avec une composition des jeux de rôle extraordinaire, émouvants.
Je les aime tous du "bon" au plus "méchant" même si ces définitions ne sont pas parfaites pour les définir car ces personnages sont tellement complexes. Ils sont beaux et belles et attachants.
Au début je balance pour la cause humaine et à la fin je suis dans le camp des répliquants car ils sont plus humains que les humains et donne une grande leçon de vie.
Les scènes hors normes quand la danseuse au serpent se fait "éliminer", Lorsque le chef des répliquant s'enfonce le clou dans la main et lâche la colombe lorsqu'il meurt. C'est son âme qui s'envole.
Bon j’arrête là car je vais raconter tout le film.
TS APO 80 560, réducteur TS 0,79, Vixen GP goto SynScan, Canon 600D défiltré Galli, Optolong L-eNhance, ZWO 120 MM .
Chili 2003 et 2015[/b][/color]
http://www.photo-pugliesi-jean-luc.fr/" onclick="window.open(this.href);return false;
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juin 2014
18
13:19
Re: Une soirée chez Kubrick
Whaouh, Jean Luc,
ÇA, c'est exactement "LE" commentaire qu'il faut faire à propos de cette "œuvre", car comme tu le dis bien, même
l'être humain est rattrapé par le temps qui passe, un peu moins vite que pour celui des Réplicants (plus humain que l'humain, telle est la devise de la Tyrell Corporation...) parce que JF Sébastien est atteint d'un vieillissement prématuré, "compensant sa solitude par la construction en tant que généticien pour la Tyrell corp. de deux automates qui semblent, bien qu'humoristiques, combien "dérisoires" dans la vie "factice" qu'ils "compensent" lorsqu'ils accueillent, JF le soir,quand il regagne son immense appartement lugubre et glauque dans ce monde de laissés pour compte, dont les "privilégiés" ont quitté la Terre pour vivre dans les "Colonies de l'espace" vantées par une pub aérienne à néons aussi colorés que
"futile".
Je vois que le très "noble et fin" symbole de la Colombe blanche qui s'envole de la main de Nexus 6 à la fin, ne t'a pas échappé : Super ça
et comme l'a fait remarqué Laurent, la "délectable" musique de Vangélis notamment lorsque la créature de rêve et de éclatante de féminité, Rachel, la secrétaire-Réplicant (sic, voilà le genre de Réplicant, qui en plus a elle, une espérance de vie indéterminée, veinard Deckaert !!!!, que j'aimerais "rencontrer"... même pas sur Meetic, donc il ne reste que les Mythiques Dentelles du Cygne...)
joue du piano dans l'appartement de Deckaert : Irréel ce passage, irréel (et peut être, tant mieux...)
Bon, je reviens sur Terre,je fais comme toi, je m'arrête là, mais on en reparlera avec tous les Ragbristes...
jb.
ÇA, c'est exactement "LE" commentaire qu'il faut faire à propos de cette "œuvre", car comme tu le dis bien, même
l'être humain est rattrapé par le temps qui passe, un peu moins vite que pour celui des Réplicants (plus humain que l'humain, telle est la devise de la Tyrell Corporation...) parce que JF Sébastien est atteint d'un vieillissement prématuré, "compensant sa solitude par la construction en tant que généticien pour la Tyrell corp. de deux automates qui semblent, bien qu'humoristiques, combien "dérisoires" dans la vie "factice" qu'ils "compensent" lorsqu'ils accueillent, JF le soir,quand il regagne son immense appartement lugubre et glauque dans ce monde de laissés pour compte, dont les "privilégiés" ont quitté la Terre pour vivre dans les "Colonies de l'espace" vantées par une pub aérienne à néons aussi colorés que
"futile".
Je vois que le très "noble et fin" symbole de la Colombe blanche qui s'envole de la main de Nexus 6 à la fin, ne t'a pas échappé : Super ça
et comme l'a fait remarqué Laurent, la "délectable" musique de Vangélis notamment lorsque la créature de rêve et de éclatante de féminité, Rachel, la secrétaire-Réplicant (sic, voilà le genre de Réplicant, qui en plus a elle, une espérance de vie indéterminée, veinard Deckaert !!!!, que j'aimerais "rencontrer"... même pas sur Meetic, donc il ne reste que les Mythiques Dentelles du Cygne...)
joue du piano dans l'appartement de Deckaert : Irréel ce passage, irréel (et peut être, tant mieux...)
Bon, je reviens sur Terre,je fais comme toi, je m'arrête là, mais on en reparlera avec tous les Ragbristes...
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